Club Ami des Anciens

Lettre à Bernard Garandeau, Vice-Président en charge des Personnes Agées au Conseil Général de la Gironde, au sujet du Club Ami des Anciens.

Bordeaux, le 7 Décembre 2006

Monsieur le Vice-Président, Cher Collègue,

L’association Club Ami des Anciens a demandé à me rencontrer afin de me faire part d’un écart entre les dépenses du club, liées à l’APA et les recettes provenant de notre institution.
Comme tu le sais, j’aime les choses claires. Voici donc mon analyse à la suite de cet entretien.

Section I :

  • subvention accordée 60 723 €
  • subvention demandée 66 724 €

L’écart proviendrait des frais kilométriques et du carburant. Nous en avons souvent parlé ensemble. C’est une spécificité de l’aide à domicile en milieu rural.

Section II :

  • subvention accordée 1 426 130 €
  • subvention demandée 1 501 665 €

L’écart proviendrait de la non prise en compte par notre institution des taxes sur salaires, des honoraires, des coûts de formation, de l’AGEFIPH, etc… Je crois que le problème initial est un problème de présentation. Je suis persuadé qu’une solution pourra être trouvée à cet écart.

Section III :

  • subvention accordée : 65 108 €
  • subvention demandée : 65 108 €

De plus, 59 624 € auraient été retenus en réduction des charges pour le budget 2006 après le constat d’excédents de gestion, notamment en 2004.

Tout cela aboutit à un chiffre.

Je sais que tu dois rencontrer bientôt la présidente de cette association. Je dois te dire que cette situation est très lourde à porter pour elle. Cette association a grandi à la demande des CCAS locaux et des collectivités. Aujourd’hui, elle a besoin de sérénité pour s’établir et se consolider.

Je suis sûr que notre institution trouvera avec l’association une solution pour retrouver une situation pérenne. Ce sont 140 salariées qui aujourd’hui travaillent pour cette structure et plus de 500 familles qui sont aidées. Je sais que tu t’es engagé personnellement sur ce dossier et je t’en remercie.

Je reste à ta disposition pour en parler si tu le souhaites.

Dans cette attente, je te prie de croire, Mon Cher Collègue, à l’assurance de mes salutations distinguées.

Yves d’Amécourt

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