Rosé « festif » et rosé « de garde », une robe pour deux… (Le nouvel économiste)

Longtemps décrié comme un vin de piètre qualité, le rosé s’est placé depuis une quinzaine d’années sous le signe d’une réussite exceptionnelle. Il ne cesse de gagner des parts de marché en France comme à l’international, et a su s’imposer aux consommateurs comme un vin attrayant, peu cher et festif. Mais une nouvelle tendance vient bousculer ces codes biens établis. Même s’ils restent minoritaires, de plus en plus de producteurs de rosés proposent des vins de garde, exigeants et haut de gamme. Cette diversité nouvelle démontre au grand public comme aux critiques que le rosé est bien un vin à part entière, à l’instar du blanc, du rouge, ou du champagne.

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