Les viticulteurs bloquent les ventes en vrac pour tenter d’enrayer la chute des prix. .« Nous avons besoin de protéger notre appellation», avait souligné jeudi Yves d’Amécourt, le secrétaire général du syndicat, qui regroupe quelque 6700 viticulteurs. « On est en train de casser l’image de marque de Bordeaux avec des vins qui se vendent à 1,5 € la bouteille», avait-il précisé.
«On n’impose pas les prix, les consommateurs les fixent», disent les négociants.