L’épuration des eaux par les plantes

Le jeudi 30 août à 14 heures à la Mairie de Sauveterre-de-Guyenne, réunion d’information ouverte à tous les professionnels, sur le thème de l’épuration des effluents de chai par les plantes.

Le jeudi 30 août de 14 heures à 17 heures, à la Mairie de Sauveterre-de-Guyenne, j’organise une réunion d’information, ouverte à tous les professionnels, sur le thème de l’épuration des effluents de chai par les plantes.

En présence, notamment, de Alain Weil de la société PHYTOREM, de Didier Rodriguez, producteur de plantes aquatiques à Salleboeuf (Aquaticus), de Laurent Rousseau, vigneron à Abzac dont l’exploitation sera bientôt équipée d’une station « Bambou-Assainissement », de Jean-Yves Rossignol, du cabinet AJYR de Ruch, Conseil en actions pour le Développement Durable…

Pour en savoir plus voici quelques liens :

  • le Site de l’entreprise Aquaticus, producteur de plantes aquatiques à Salleboeuf
  • http://ajyr.eu, décrit l’activité du bureau d’études AJYR, dédiée à l’expertise sur les émissions de gaz à effet de serre et sur la dépendance économique aux ressources carbonées fossiles. AJYR est situé à Ruch.
  • Laurent Rousseau des Vignobles Rousseau à Petit-Sorillon, sur la commune d’Abzac produit plusieurs appellations : Château Pont-Cloquet (Pomerol), Château des Rochers (Lussac Saint-Emilion), Château Laborderie-Mondésir (Lalande de Pomerol), Château Haut-Barry et Château Haut-Sorillon (Bordeaux supérieurs).

4 commentaires sur “L’épuration des eaux par les plantes”

  1. Jean-Michel Invernizzi

    L’épuration des eaux usées par les plantes (roseaux, bambous,…) est une technique qui a fait ses preuves depuis longtemps (une vingtaine d’années en France). Mais les collectivités et les industriels étaient très réticents, notamment parceque c »est un système vivant,donc, par conséquent, moins "maitrisable" qu’une dépollution physico-chimique. Pour autant, les résultats sont probants et le retour d’expérience ne laisse aucun doute. C’est une technique propre s’inscrivant parfaitement dans le cadre du développement durable.

  2. J’ai été très heureux que 45 viticulteurs et élus aient répondus présents pour cette présentation à une heure et pendant une période pas forcément faciles. Merci à TV7 (Laura Pargade) et Sud-Ouest (Patrice Izaute) de s’intéresser à ce sujet.

    Les plantes constituent un gisement d’innovation pour l’avenir et elles fonctionnent à l’énergie solaire ! Le Bambou est particulièrement efficace et surprenant. Nous avons aisni appris que tous les bambous d’une même famille (il y en a 1500 sortes), fleurissent tous en même temps dans le monde entier. Cette floraison dure 2 jours et elle a lieu 1 fois par siècle! Après cette floraison les bambous meurent. Pour cette raison, un observatoire mondial existe afin de « castrer » les bambous de la famille sur le point de fleurir, avant leur floraison, pour maintenir l’espèce.

    A la fin du débat le chiffre de 150 000 € a été avancé par Laurent Rousseau, viticulteur à Abzac. Tout le monde a compris qu’il s’agissait du prix de la station de bambous, et pour tout dire, nous avons pris peur! En fait , pas du tout. C’est le prix d’une station "normale". La station de bambou lui a couté "beaucoup moins cher".

    C’est dommage car de nombreux collègues sont partis avec l’idée que cette technologie est onéreuse… Ce qui n’est apparemment pas le cas. Laurent Rousseau en était désolé. Il invite chacun a se rendre sur site pour évoquer ces sujets.

    Didier Rodriguez, quant à lui, vous attend à Salleboeuf pour visiter sa pépinière aquatique!

    A suivre donc…

    Merci encore

    Yves d’Amécourt

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