‘La France Forte’ avec Maxime Sibé, à La Brède, hier soir.

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Dans le cadre de l’élection présidentielle, nous étions en réunion publique hier soir, au gymnase de La Brède, en présence de :

  • Michel Dufranc, Maire de La Brède
  • Nicolas Florian, conseiller régional, vice-président de la CUB, candidat aux élections législatives sur la 4ème circonscription,
  • Maxime Sibé, candidat aux élections législatives sur la 9ème circonscription,
  • Yves Foulon, Maire et Conseiller Général d’Arcachon, canidat aux élections législatives sur la 8ème circonscription,
  • Marie-Hélène Des Egaulx, Sénatrice, Maire de Gujan-Mestras,
  • Hugues Martin, représentant Alain Juppé, Maire de Bordeaux,

Lire l’article de Sud-Ouest : « L’UMP sans Juppé mais avec conviction »

1 commentaire pour “‘La France Forte’ avec Maxime Sibé, à La Brède, hier soir.”

  1. Le message de monsieur d’Ormesson exprime bien ce qu’on peut ressentir à l’égard de François Hollande mais, et bien que loin d’être grand clerc, l’échéance de 2014 pour ressentir les affres du désenchantement me paraît très éloignée. J’ai bien peur que ce ne soit qu’en mois qu’on ne puisse compter.
    Passons les circonstances de sa candidature aux Primaires de son parti à l’automne dernier d’où il est sorti vainqueur grâce à la défaillance de l’ancien directeur du FMI. Sans celle-ci, nul doute qu’il n’aurait été écarté tant son projet était mince et son expérience réduite.
    Sa force fut sa faiblesse. On a pris son manque de détermination pour une capacité de rassemblement, et les échanges verbaux qu’il eut alors avec la première secrétaire du Parti socialiste le rappelle à notre mémoire. Son idée phare au tout début des débats était son contrat intergénérationnel. Idée généreuse, comme celle aussi des 150000 emplois aidés pour les jeunes sans emploi.
    Hollande, c’est un gentil, un grand cœur, même peut-être.
    Au fil du temps il agrégea les idées des uns et des autres, il séduisit ses militants, les militants du PS, quelques français…
    Il y crut ; il gagna et delà, hélas, devint arrogant.
    Tous l’encensèrent, le flattèrent, lui présentèrent ses idées. Il les accepta si elles lui paraissaient généreuses, les fit siennes. Son arrogance grandit, grandit…
    Il savait qu’il devait se montrer ferme, il rejeta alors Mélenchon qui se fit plus radical à son endroit.
    Il faut bien montrer qu’on existe, quand même.
    S’il est élu, au sein du Parti Socialiste, ils se battront pour les postes et les prébendes. Au gouvernement, il faudra composer et faire face à ceux rejetés ; on pense à Mélenchon et à ses soutiens. Il faudra aussi tenir les engagements pris lors de la campagne. Les Français seront là, les marchés, les partenaires européens aussi.
    La liesse risque d’être brève.

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