Cet après midi j’intervenais avec Sylvie Caze, devant le « CHEDE » (Cycle des Hautes Etudes pour le Développement Economique), à la Préfecture de Bordeaux, pour évoquer les « défis de la viticulture dans le bordelais ». Après la projection des chiffres de la filière, l’exposé c’est rapidement transformé en débat avec les auditeurs.
- Vins de Bordeaux : ‘entre l’objet de consommation et l’œuvre d’art’
- Après la crise viticole et le « plan bordeaux », la crise internationale
- Aller vers la stabilisation des prix et une juste rémunération des acteurs de la filière à travers deux exemples : (1997/1998) & Aujourd’hui
- L’assurance récolte : l’auto assurance (VCI), l’assurance fléaux climatique.
- Les marchés en expansion : la Chine et l’Asie, Le marché du Rosé, les nouveaux emballages (Bib)
- En France, promouvoir les effets bénéfiques du vin pour la santé. La France complexée d’aimer le vin.
- Diminuer nos émissions de GES : bilan carbone du CIVB
- Diminuer l’utilisation des produits phytosanitaires sans augmenter l’émission des GES (agriculture raisonnée), en travaillant sur la vigne (rapport feuille fruit, enherbement, VHL, génome de la vigne, techniques de culture,…)
- Réchauffement climatique ? Quelles hypothèses pour Bordeaux et l’Aquitaine ?
- Vin et santé (régime Aquitain, Plan Alzheimer, le rôle des polyphénols)