A Rome, les sangliers se promènent dans les rues la nuit et se nourrissent des détritus des poubelles. Un phénomène lié à une « protection des espèces » qui ne laisse pas place à une régulation suffisante, dénonce Christiane Lambert. A l’heure de la récolte du maïs, la polémique est relancée entre agriculteurs, chasseurs et écologistes. Le ministère de la Transition écologique assure vouloir « mettre un coup d’arrêt » à la croissance des dégâts de gibier en annonçant prochainement des mesures.