| Hier, Le Mouvement de la Ruralité l’avait dit, aujourd’hui, il l’a fait ! 94 candidats porteront le drapeau de la ruralité aux élections législatives du 12 juin prochain. Après le premier galop d’essai du jeune parti de la Ruralité aux élections régionales de Nouvelle-Aquitaine en obtenant près de 8% de voix dépassant au passage LFI et de nombreuses formations politiques, Le Mouvement de la Ruralité avait annoncé qu’il ne présenterait pas de candidat à l’élection présidentielle, préférant organiser et inviter les différents candidats à un grand oral sur la Ruralité avec la signature des 30 points proposés par LMR. Aujourd’hui, l’objectif du Mouvement de la Ruralité est d’assurer son avenir par sa présence aux élections législatives et de porter son programme et ses valeurs, en voulant faire entendre la parole de toutes celles et ceux qui ne se reconnaissent plus dans les propositions que leur formulent les technocrates et les professionnels de la politique. Aussi, toujours dans un esprit de partage, LMR a fait le choix de ne pas présenter de candidats là où Résistons de Jean Lassalle en présentait dans ces élections législatives. A contrario LMR avait annoncé sa présence face aux extrémistes animalistes et aux candidats porteurs d’une écologie radicale et punitive pour les territoires ruraux à l’image de ceux qui poussent l’implantation d’éoliennes dangereuses pour les hommes, les animaux et l’environnement. Ainsi, c’est avec une certaine fierté que LMR a positionné Abdel Aïssou, ancien sous-préfet face à Loïc Dombreval, député animaliste sortant et ANTI-CHASSE dans les Alpes-Maritimes, Bernard Borel président régional (LMR) face à Barbara Pompili dans la Somme, Sandrine Rousseau (candidate LMR Le Mouvement de la Ruralité) face à Sandrine Rousseau (candidate EELV de la NUPES) à Paris, pourfendeuse radicale de nos us de la ruralité, Christine Poisson ancienne députée européenne et vice-présidente de la Coordination rurale face à Cédric Villani le bobo écologiste mathématicien et Jacques Lemoine (pêcheur) face à Patricia Lemoine signataire du RIP et opposante à la chasse… Les candidates et candidats du Mouvement de la Ruralité, porteront un véritable programme de développement des territoires ruraux, de défense des services publics, de l’agriculture, des circuits courts, d’une écologie du bon sens, de la fin de la métropolisation pour privilégier le développement des villes moyennes, de l’aménagement du territoire, de la fin des déserts médicaux, des propositions en matière de handicap et la défense des traditions, cynégétiques, halieutiques, taurines ou gastronomiques. C’est avec le message : « Avec les candidats du Mouvement de la Ruralité, retrouvons le chemin du bon sens ! » que l’ensemble des 94 candidats portera fièrement la défense de la France rurale. L’objectif de cette nouvelle étape pour le Mouvement de la Ruralité est de s’inscrire durablement dans le débat politique national afin que l’aménagement des territoires ruraux y occupe toute sa place, et non simplement, à travers quelques propositions fugaces et sans lendemain évoquées lorsque les candidats des partis politiques sont « en campagne ». Eddie Puyjalon, Président du Mouvement de la Ruralité. |