La ‘France Forte’, avec Jean-Paul Garraud, Gérard César et José Bluteau, hier soir à Pellegrue.

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Nous étions nombreux à Pellegrue vendredi soir, avec José Bluteau, Maire et Conseiller Général de Pellegrue, Gérard César, Maire de Rauzan et Sénateur, Jean-Paul Garraud, Conseiller Régional et Député de Libourne, Bérangère Brillon, ma suppléante…

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… Il y avait Jean-Pierre Larribaud, Maire de Baigneaux, Xavier Capdeville, Maire des Esseintes, Jeanine Lacombe, Maire de Landerrouat, Emile Bouscary, Maire de Saint Ferme, Jean-Pierre Gasnault, Maire de Landerrouet-sur-Ségur, Jean-Marie Hatron, Maire de Couture-sur-Drot, Liliane Poivert, Conseillère Général et Maire de St Pey-de-Castet, Jean-Franck Blanc, Maire de Teuillac et Président de la CDC de Bourg, candidat aux élections législatives sur le 11ème circonscription, Chantal Dugourd, sa suppléante, Conseillère Municipale à St Denis-de-Pile, Jean-Claude Duchamps, Maire de Lados et Didier Lamouroux, Maire de Gornac.

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José Bluteau a soutenu la candidature de François Bayrou au 1er tour. Il a expliqué son soutien à Nicolas Sarkozy pour ce second tour, « au nom de la pluralité » en Gironde, et contre « la pensée unique ». Il a expliqué que « si François Hollande était élu », le Parti Socialiste aurait « tous les pouvoirs » en Gironde : Conseil Général, Conseil Régional, Etat, …

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Jean-Paul Garraud est revenu sur 5 années de mandature, lui qui a obtenu la note de 20/20 -la meilleure note- parmi les députés de France (source Sud-Ouest).

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Puis Gérard César est revenu sur les valeurs du Gaullisme en politique, et a apporté son soutien au Président de la République, Nicolas Sarkozy, au nom de l’amicale Gaulliste du Sénat. Estimant que le vote des Français sera «un acte d’espérance et de foi en la nation» l’amicale Gaulliste du Sénat (71 sénateurs gaullistes en exercice et 60 sénateurs honoraires) rappelle que «deux voies s’offriront à eux: celle de l’effort et du courage, ou celle du déni des réalités et de la facilité». Il ajoutait que «selon leur choix, la France verra son économie se redresser et renouer avec la croissance et la prospérité, ou s’acheminer vers la stagnation et le déclin». En conclusion, il demandait à l’assemblée de «se rassembler pour barrer la route à la démagogie et aux chimères» en soutenant le président-candidat.

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Je revenais, pour ma part, sur le véritable « choix de société » que les Français auront à faire le 6 mai. J’illustrais mon propos sur 4 thèmes : l’Education, l’Europe, l’Environnement et l’Emploi.

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« Nous avons eu le grand Charles et le grand Jacques. Aujourd’hui , nous avons besoin du petit Nicolas ! »

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Nous nous retrouvions ensuite pour le dîner, « Chez Mireille ».

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Communiqué de presse

Vidéos de campagne :

A lire sur ce blog :

Ils nous soutiennent dans cette campagne des législatives :

7 commentaires sur “La ‘France Forte’, avec Jean-Paul Garraud, Gérard César et José Bluteau, hier soir à Pellegrue.”

  1. Hollande pense convaincre les entrepreneurs en donnant un impôt sur les sociétés plus faible pour les PME, et une banque d’investissement qui existe déjà, OSEO, mais il se trompe : ceux-là sont hantés par le spectre de la faillite du pays, avec le refus par la gauche de signer la règle d’or, la retraite à 60 ans, la TVA sociale annulée, l’augmentation du nombre de fonctionnaires, le retour à un ISF fort, le super impôt à 75 + 15 % , la fin des niches fiscales, la hausse de tous les impôts… tout ceci va affaiblir notre compétitivité, affoler les marchés et, en conséquence, avec un taux d’intérêts fort comme en Grèce : amener la pays à la faillite.

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  2. En tant que fonctionnaire de l’éducation nationale, je reçois une rétribution de l’état depuis 1968. Retraité à présent, je continue de recevoir une pension civile et ce jusqu’à ma mort, que j’espère la plus tardive possible. Ma veuve percevra une pension de réversion jusqu’à la sienne…

    Sans exagérer on peut estimer que l’état, lorsqu’il embauche un nouveau fonctionnaire, engage les finances du pays pour soixante ans environ. Les experts comptent qu’en moyenne un fonctionnaire coûte à l’état trois mille €uros par mois, trente-six mille par an et deux millions cent soixante mille €uros en soixante ans.

    L’embauche de soixante mille fonctionnaires nouveaux dans le quinquennat 2012-2017 engagerait l’état (tous gouvernements successifs confondus) jusqu’en 2077 et reviendrait aux contribuables de trois générations à cent trente milliards d’€uros au total. Simplement pour soixante mille fonctionnaires or la France en compte des millions !

    En regard, le fait de ne pas remplacer un fonctionnaire sur deux partant à la retraite actuellement (génération pléthorique du baby-boom français) ne constituera une économie réelle qu’après le décès du fonctionnaire (au minimum) et/ou de celui ou celle bénéficiant de sa pension de réversion… Les mêmes experts pronostiquent qu’il faut donc un minimum de 25 ans pour réellement voir les effets bénéfiques de cette mesure de dégraissage de la fonction publique française tout en reconnaissant que ne pas embaucher un nouveau fonctionnaire économise à l’état trente-six mille €uros par an et deux millions cent soixante mille €uros sur soixante ans. En multipliant par soixante mille, on retombe sur cent trente milliards mais … d’économies.

    L’honnêteté intellectuelle consiste à s’interroger pour savoir si le non remplacement de certains fonctionnaires partant à la retraite aide le pays ou le met en mauvaise posture, mais également si l’augmentation continuelle du nombre de fonctionnaires améliore en proportion le service public…

    Je tenterai de réfléchir sur la relation entre le quantitatif et le qualitatif dans un prochain écrit d’entre deux tours…

  3. Conte des deux poules :

    Camarade, si tu avais deux maisons, tu en donnerais une à la révolution ? Oui ! répond le camarade.

    Et si tu avais deux voitures de luxe, tu en donnerais une à la révolution ? Oui ! répond de nouveau le camarade.

    Et si tu avais un million sur ton compte en banque, tu en donnerais la moitié à la révolution?

    Bien sur que je le donnerais ! répond le fier camarade.

    Et si tu avais deux poules, tu en donnerais une à la révolution ?

    Non ! répond le camarade.

    Mais …. pourquoi tu donnerais une maison si tu en avais deux, une voiture si tu en avais deux, 500 000 si tu avais un million……..et que tu ne donnerais pas une poule si tu en avais deux ?

    Mais parce que les 2 poules, je les ai !!!!

    Moralité :

    « Il est toujours facile d’ être socialiste avec la propriété et le travail des autres ! »

  4. LA COHÉRENCE (2)

    Pour l’amour, certains en parlent tout le temps, d’autres le font et n’éprouvent donc pas le besoin d’en parler.

    En irait-il de même pour la cohérence ?

    Depuis le tout début pas un discours sans prononcer le mot cohérence, en manquerait-il donc tant ?

    Réfléchissons !

    On ne l’a jamais choisi pour exercer la moindre fonction dans l’exécutif ; au niveau local il préside le conseil général du département le plus endetté de France et pourtant il postule au pouvoir suprême dans ce même pays.

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Il a dirigé pendant onze ans un parti dont les responsables des deux plus puissantes fédérations ont à répondre devant la justice de leur conduite mafieuse et de multiples malversations : certains d’entre eux séjournent actuellement en prison et non des moindres. Impuissant à faire changer ces pratiques indignes dans son parti, alors, il affirme vouloir apporter dans le pays entier le changement, maintenant !

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Après qu’ils eurent dit de lui : Il n’a aucune épine dorsale, il manque de caractère, il n’est pas fiable ; arrêtez de dire qu’il travaille, il n’a jamais travaillé, il ne fout rien ; // Son point faible c’est l’inaction, est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu’il aurait réalisée en 30 ans de vie politique ? // Une fraise des bois peut-elle cacher un éléphant ? Franchement vous l’imaginez président de la république ? On rêve ! // Lui, c’est le principal défaut de notre parti ! // Quelqu’un qui me dit qu’il est normal, je commence à m’en méfier… il n’hésite pas une seconde à les nommer, tous, ses porte-parole ou ses porte-étendard.

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Il se fait traiter de capitaine de pédalo par un candidat roulant en troskynette et il l’accepte à son bord au soir du premier tour sans qu’il ait daigné prononcer son nom de toute la soirée à la télévision, continuant de l’humilier en le désignant comme l’autre bulletin !

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Il se proclame l’ennemi de la finance et des marchés puis se précipite à Londres, première place financière du monde, pour assurer que les marchés n’ont rien à craindre de lui, d’autant qu’il n’y a plus de communistes en France. Bien qu’il n’y en ait plus, il devra en prendre quelques-uns dans son gouvernement si, par impossible, il parvient à se faire élire président.

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Sans sourciller, il accepte de comptabiliser l’extrême gauche parmi ses alliés et défend à son adversaire de faire de même avec l’extrême droite, infréquentable et, dans l’instant, il demande aux transfuges de la gauche y adhérant, de le rejoindre au second tour, oubliant qu’il n’y a pas pire ayatollah anti-tabac qu’un ancien fumeur, ni plus acharné contre l’alcool qu’un buveur repenti.

    Où se trouve la cohérence ? Réfléchissons !

    Pour faire preuve de cohérence il ne faut pas avoir la mémoire courte : une majorité de Français l’aurait-elle ?

    Réfléchissons-y !

  5. François Hollande insiste aussi sur le fait que la forte progression du FN serait dûe à Nicolas Sarkosy. Pourtant dans le département qu’il préside, la Corrèze, le score de Marine Le Pen dépasse de + de 5 points les résultats qu’il obtient au plan national.
    C’est inquiétant quand on sait que les Conseils Généraux interviennent en priorité dans le domaine social.

  6. J’aime l’humour de droite! En lisant toutes ces interventions « modérées », soit on s’inquiète ou on a envie de rire. Je préfère la seconde option. Par contre votre leader national me fait penser à Milan Astray. Je crois qu’il va finir par conclure ses discours par A bat l’intelligence! Vive la mort ! Votez pour moi!

  7. PLUS OU MOINS ET MIEUX OU PIRE.

    Quand la grenouille voulut se faire aussi grosse que le bœuf on sait ce qu’il en advint.

    1 700 milliards d’€ de dette : voici ce que nous tous, les Français, avons généré depuis 1981, date du dernier budget présenté en équilibre par M. Raymond Barre (le dernier budget exécuté en équilibre des recettes et des dépenses remonte à l’année précédente, 1980, également avec M. Barre comme premier ministre).

    Pourquoi dis-je nous tous ? Parce que nous avons toujours voté pour les tenants du je vous en promets plus en ricanant des autres nous avertissant qu’avoir les moyens de vivre sans avoir les raisons de vivre ne menait pas bien loin. Nos raisons de vivre s’incarnent en nos enfants et petits-enfants auxquels nous allons léguer intégralement ce déficit abyssal si nous ne commençons pas de le résorber car nous ne payons pour l’instant que les intérêts de la dette et parfois en empruntant encore pour ce faire.

    Réfléchissons non pour savoir lequel nous en promet plus mais lequel a la capacité de mieux faire.

    Les chiffres actuels du chômage en France, quand on les regarde on s’effraie, quand on les compare (avec ceux de l’Espagne, du Portugal, de la Grèce, du Royaume-Uni ou, même et surtout, avec ceux de l’ère mitterrandienne) on se rassure un peu en se disant qu’on s’en tire plutôt mieux.

    Quand on passe à une analyse qualitative s’inscrivant dans la durée on sait bien que le pic du baby-boom se situe entre 1947 et 1956 : si l’on considère qu’à 65 ans presque tous ses représentants auront pris leur retraite, on comprend aisément que de 2012 à 2021 des millions de postes de travail vont se libérer, laissant le champ libre à autant de jeunes et de moins jeunes sans-emploi actuellement ; cela, d’ailleurs, sans qu’aucune politique anti-chômage ne puisse s’en prévaloir…

    Comme dirait certain dont on se gausse : voilà la vérité !

    La question de l’immigration ne se pose pas tant en termes quantitatifs que qualitatifs car la France a eu des périodes de forte immigration, notamment entre les deux guerres : Russes, Polonais, Italiens, Juifs Allemands ou de l’Est de l’Europe, Espagnols, puis après-guerre Portugais. Leur intégration voire leur assimilation parfaite (mais avec beaucoup de difficultés car nos compatriotes de l’époque en ont fait baver aux Ruskofs, Polacs, Ritals, Espingouins ou Portos) n’a pu s’effectuer que grâce à leur noyau culturel dur (la religion en nº1) de nature judéo-chrétienne comme celui des Français (même agnostiques comme moi ou athées comme beaucoup d’autres). D’ailleurs à l’heure actuelle seul leur patronyme de naissance permet de les distinguer des autres Français car ils portent des prénoms traditionnels de France, alors que des petits Français, dits de souche, se prénomment Matéo, Claudia ou Giulia…

    L’immigration postcoloniale n’a pas posé plus de problème quand il s’agissait de chrétiens persécutés dans leur pays d’origine mais s’avère impossible s’agissant de musulmans, très discrets avant le regroupement familial et nettement plus visibles depuis celui-ci. La plupart a la nationalité française tout en se prénommant Mohammed, Abdelkrim ou Rachida (cf. mon roman 2084, date imaginaire de l’établissement de la République islamique de France). Nul ne peut les renvoyer dans leur pays d’origine même avec des rodomontades, puisque chez eux s’appelle: la France ! Alors, on n’a pas fini de parler de repas halal dans les cantines scolaires, d’arbres de Noël interdits dans les écoles non confessionnelles, d’horaires séparés pour filles et garçons dans les piscines municipales et de médecins hommes pour les garçons et femmes pour les filles… jusqu’à ce que cela devienne la norme (question de nombre).

    Y aura-t-il une amélioration à cet état de fait en proposant de donner le droit de vote aux Municipales à ceux des immigrés non Européens en situation régulière pas encore naturalisés français ? Tirera-t-on un bénéfice à régulariser les sans-papiers en sachant qu’ils ne peuvent pas plus s’intégrer à la France traditionnelle et millénaire que le vinaigre ne peut se mélanger durablement à l’huile ? (cf. un discours de Charles de Gaulle en 1959)

    Pour le taux de croissance, le pouvoir d’achat, le montant des salaires et des retraites, la France de la crise a-t-elle fait pire ou mieux que nombre de ses voisins ?

    Encore une fois, à tout cela réfléchissons…

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